Un arrêté ministériel interdit le transport du pain par des moyens inappropriés. Paradoxalement, les dispositions de cet arrêté sont foulées au pied et l’on observe à travers les rues de Brazzaville et des autres villes du pays le transport de cette denrée de première nécessité dans des conditions non hygiéniques, sans répression. Les minibus semblables à ceux du transport en commun, les vélos, les tricycles, ainsi que les brouettes sont mis à contribution dans la distribution et la vente à la criée du pain.