Les syndicalistes de la Société des postes et d’épargne du Congo (SOPECO) avaient accepté de faire partie du Comité de crise créé dans leur entreprise pour donner une chance au dialogue social. Une expérience amère, affirment-ils dans une déclaration. Les salaires ne tombant toujours pas comme souhaité, ils ont désavoué le Comité après avoir fait le constat que les choses n’avancent pas. Et ils menacent de relancer la grève.