L’écrivain Hygnas Embvani vient de signer aux Editions Edilivre (Paris, France), son 9e roman, titré:’’Requiem pour deux âmes en paix’’, comptant 270 pages. Dans cet ouvrage, il met en lumière la dure réalité des difficultés, souvent infranchissables, que les migrants subsahariens rencontrent au cours d’un périple sans fin qui doit les conduire des côtes africaines de la Méditérranée pour l’Europe. Interview.

°Que dites-vous pour conclure?
°°Ce que nous n’avons pas aussi évoqué, c’est l’itinéraire que prend la vie d’un Homme qui peut en conviancre plus d’un, que le destin existe, que chacun de nous à son destin. Je pense qu’à la fin de ce roman, on n’arrive à se convaincre que la vie des Hommes n’est pas linéaire, qu’il peut parfois s’écrire en dents de scie, et qu’au cours de leur existence, les belles choses arrivent en général lorsqu’on s’y attend le moins. A travers ce livre, j’ai voulu aussi montrer qu’après avoir emprunté un mauvais chemin, après s’être égaré, un Homme peut se racheter une bonne conduite et se mettre à faire preuve d’exemplarité… Je tiens également à remercier mes lecteurs pour leur fidélité, leurs critiques littéraires constructives qui m’ont permis jusqu’ici de continuer à développer mon propre sens critique et qui permettent à ma plume de toujours continuer à noircir les pages en lorgnant du côté de l’excellence !

(Suite de la précédente édition)
Propos recueillis par
Pascal NGALIBO-YALA