Le monde a célébré la 41e édition de la fête de la musique, le 21 juin, comme chaque année, exceptées les années COVID. A l’Institut français du Congo de Brazzaville, le public venu nombreux a salué le talent de plus de cinq-cents artistes qui sont montés sur cinq scènes érigées surplace. Il a célébré la fête avec les artistes et différents groupes musicaux évoluant dans divers styles.
Les spectateurs ont par ailleurs envahi les espaces reservés: les scènes Savorgnan, Parvis, Bralico, Kiabi, Jardin ont drainé du monde, le public voulait se défouler, il se déplaçait de scène en scène, admirant et encourageant les artistes.

Les spectateurs on envahi les espaces reservés
Les spectateurs on envahi les espaces reservés

Dans le hall, la scène Kiabi a été reservée aux artistes de la musique urbaine, à la danse, au défilé de mode et à la tombola, alors que les autres scènes ont été consacrés à la musique tradi-moderne, la percussion, le gospel, l’Afro-gospel, la world music, le jazz, le reggae, le rap, le coupé-décalé, la rumba, etc. Le passage des artistes talentueux a captivé l’assistance, il a été accompagné par des applaudissements et des houras. Le public a pris d’assaut ces différents espaces pour faire la fête, et les artistes ont fait montre de leurs talents dans la diversité musicale.
La ministre de l’Industrie culturelle, touristique, artistique et des loisirs Lydie Pongault a effectué la ronde des sites de Kintélé et de Mayanga, avant de se rendre à l’IFC, où elle a informé le public sur le FESPAM, une autre fête musicale qui approche, et qui aura lieu du 15 au 22 juillet à Brazzaville.
Régis Ségala, directeur de l’IFC a remercié la ministre pour son soutien aux artistes et sa participation à cette fête qui est l’un des rendez-vous majeurs de leur programmation culturelle. Cette fête internationale de la musique s’est également déroulée au centre culturel Zola à Moungali, au stade Dzabana Jadot (ex-Yougos), et dans d’autres localités du pays. La fête était belle!

GSDS