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L’insouciance dans le risque

Malgré la crise financière qui cisaille nombre de familles, des gens envahissent les bars, buvettes et boîtes de nuit (ouvertes clandestinement puisque non autorisées en cette période de pandémie à coronavirus). Ils boivent beaucoup. Il est devenu banal de trouver dans un débit de boisson deux ou trois buveurs autour d’un amoncellement de bouteilles vides, bues jusqu’à la dernière goutte. Banal encore, le jour à peine levé, d’entendre quelqu’un déclarer ne pouvoir travailler qu’à condition de consommer une ou deux bouteilles de bière bien «tapées» (fraîches). Banal toujours, de voir se vider certaines administrations publiques dans la matinée, et les agents affluer dans les «nganda» du périmètre. Quand on les informe sur les risques de cette addiction, ils répondent: «on s’en fout».

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A propos de l'auteur

Editorial

140, DEUXIÈME !

Nous étions à Owando la semaine dernière, pour la première étape de la célébration de nos 140 ans d’évangélisation. La deuxième étape, dimanche passé, nous a conduit à Loango et à Pointe-Noire. Partout, il s’agit de mettre nos pas dans les pas des premiers missionnaires, les spiritains, qui portèrent l’évangile sur nos berges. Ils avaient quitté leurs terres lointaines, bravé les éléments, les incompréhensions et les hostilités de toutes sortes.

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