La rumeur qu’une figure de l’opposition en exil condamnée puis expulsée il y a quelques années au terme d’un procès, s’apprêtait à tenir une conférence de presse quelque part à Pointe-Noire a circulé début octobre dans la capitale économique, a rapporté un journal français. L’opposant aurait plongé les autorités de la ville dans l’embarras, surtout du fait que la manifestation n’avait pas été déclarée. Les services de sécurité ont été mis en branle. Vérification faite, Modeste Boukadia devait tout simplement s’adresser à ses militants en visio-conférence, révèle le journal.