Alors que sous d’autres cieux, les agences du Système des Nations Unies sont à cheval sur l’éthique, au Congo, un fonctionnaire du PAM estime que les représentants de cette prestigieuse institution sont incapables de sanctionner par un renvoi immédiat comme le prévoient les textes un fonctionnaire du PNUD qui aurait débauché son épouse et fait d’elle sa concubine en usant de sa position, affirme-t-il. «Informés, les représentants du PNUD, la coordination du système des Nations unies et les représentants du PAM, garants des textes et lois de cette prestigieuse institution, qui devraient être impartiaux, se prononcent carrément en faveur du fonctionnaire du PNUD», révèle-t-il. Le fonctionnaire du PAM ayant finalement divorcé d’avec son épouse, a été à son tour traîné en justice par son homologue du PNUD pour «menaces de mort». Leur cinquième comparution devant la Cour criminelle est prévue le 25 mars 2024.