Le président de l’Association congolaise d’amitié entre les peuples (ACAP), Vital Balla, a clôturé le mois de l’amitié le jeudi 16 juillet, à Brazzaville, en présence du représentant du secrétaire général du Parti congolais du Travail (PCT), Odilon Ibara-Leckassy. Ce 56e mois de l’amitié, couplé à la célébration de la Journée nationale de l’amitié, était axé sur la pratique des gestes barrières ou mesures de protection et d’hygiène contre la COVID-19.
Placé cette année sous le thème «Lutte contre le Coronavirus (COVID-19) en privilégiant les gestes barrières pour redorer l’échelle économique, l’équilibre social, culturel et politique des pays», le mois de l’amitié est célébré tous les ans dans l’intervalle du 19 mai au 19 juin. Il fait partie des activités annuelles de l’ACAP, qui est un messager de paix des Nations Unies. A cause de la crise sanitaire et des mesures de confinement, ce mois a été célébré en différé. Des personnes et membres de l’association œuvrant pour la paix y ont pris part.
«Nous avons donné toute la lumière sur la pandémie de COVID-19, qui est à l’origine de l’actuel paysage déchirant. Cette pandémie décline les économies mondiales, perturbe la logique sociale, culturelle voire politique de tous les pays du monde sans exception», a indiqué Vital Balla. Pour l’ACAP, ce temps de Coronavirus serait à prendre au sérieux quand le monde entier se révèle être une problématique en ce contexte de crise sanitaire. «Notre structure qui œuvre en faveur du raffermissement des liens d’amitié et de solidarité entre le peuple congolais et les autres peuples du monde ne ménage aucun effort pour sensibiliser l’opinion aux dangers de cette pandémie. Si cet évènement a été maintenu et s’est déroulé en présence du conseiller du secrétaire général du Parti congolais du travail, Odilon Ibara-Leckassy, la plupart des activités programmées de l’ACAP ont, en effet, été reportées à cause de la crise sanitaire que traverse le pays», a soutenu le président de l’ACAP.
Le virus de la COVID-19 demeure et suscite toujours peur et inquiétudes.
Viclaire MALONGA