Dernièrement à Makélékélé, l’arrondissement 1 de Brazzaville, un homme cherchant une maison à louer est tombé sur les Petites annonces «sauvages» en pleine rue et, aussitôt, a appelé le gérant de cette pseudo-agence de courtage immobilier. Il l’a eu et celui-ci, vite fait, est allé lui montrer une maison en l’assurant qu’elle sera libre dans une semaine et qu’il lui faudra payer trois mois de caution, plus les frais de visite des lieux pour ne pas qu’elle soit prise par quelqu’un d’autre. Ce qui a été fait. Mais quelques jours après, le petit courtier a disparu et bloqué son téléphone. Ces courtiers se veulent toujours rassurants face aux clients. Mais dans bien des cas, ils cachent habilement leur jeu.

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