Le chef de l’Etat, Denis Sassou Nguesso, a effectué à Paris, en France, une visite officielle de deux jours qui s’est achevée le vendredi 23 mai dernier. Outre son homologue français Emmanuel Macron qui l’a reçu à l’Elysée, le président Sassou a également eu une rencontre avec le président du Sénat, Gérard Larcher. Bilan de ce voyage qualifié de «fructueux» : deux conventions de financement pour la gestion des aires protégées ; un partenariat énergétique pour moderniser le réseau électrique (Appel à Veolia pour moderniser son réseau); une lettre d’intention pour la mobilité urbaine et l’extension de la route de la Corniche; une déclaration d’intention pour créer une Académie de lutte contre la criminalité environnementale; un Accord de coopération entre le port de Pointe-Noire et Haropa Port (France). Selon notre confrère Serge Armand Zanzala, ces principaux accords révèlent plusieurs faiblesses du Gouvernement congolais, notamment «la dépendance environnementale et l’incapacité de financer la protection de son propre territoire ; un mauvais pilotage des ressources énergétiques et une industrialisation en panne ; l’incapacité à financer ses propres infrastructures urbaines ; une dépendance éducative et sécuritaire ; un manque de souveraineté sur les infrastructures stratégiques.»
Ce que Denis Sassou Nguesso a obtenu en France
Brazzaville
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