Le ministre de la Santé et de la population, Gilbert Mokoki, a eu une séance de travail le 31 octobre 2023 avec la directrice adjointe du bureau du programme des Nations Unies (PNUD), zone Afrique, Nourra Hamladji, et le haut conseiller à la santé de la reproduction de l’Agence suédoise de coopération internationale u développement, Sara Kitabwala. L’objectif était d’évaluer les projets financés par les deux partenaires internationaux.
Nous avons parlé du partenariat entre le Fonds mondial, le PNUD, et le ministère de la Santé qui est un partenariat excellent», a déclaré Nourra Hamladji. Et d’ajouter : «Hier, j’ai visité le projet de construction du nouvel entrepôt de la centrale d’achat des médicaments visant à augmenter ses capacités de stockage des médicaments, un projet qui prendra fin d’ici la fin de l’année. J’ai rendu compte au ministre de ce grand succès ».
Les deux personnalités ont évoqué également les questions liées à l’amélioration de l’accès aux services de santé pour la population, surtout vulnérable. «Le partenariat avec le PNUD, le Congo peut compter dessus. Le PNUD reste engagé au Congo et sur tous les Objectifs de développement durable (ODD), sur l’exécution du Plan national de développement (PND) et son accélération. Donc, c’est vraiment un engagement fort et, ma visite ici, pour représenter l’administrateur du PNUD et la Directrice régionale prouve un engagement fort du PNUD aujourd’hui et demain dans l’avenir pour le développement durable au Congo», a ajouté Nourra Hamladji.
Avec la délégation de l’Agence suédoise de coopération internationale au développement conduite par Sara Kitabwala, haut conseiller à la santé de la reproduction, il s’agissait d’évaluer les programmes financés par le Fonds suédois. «Nous avons discuté de l’appui apporté par l’Agence suédoise de coopération internationale au développement et le Gouvernement suédois à la République du Congo pour améliorer la santé sexuelle et reproductive pour la réduction de la mortalité maternelle et infantile. Nous avons constaté qu’il y a eu beaucoup de réalisations. D’abord au niveau du suivi, nous avons vu partir à partir des indicateurs de suivi de la mortalité maternelle et des indicateurs de la santé de la reproduction ; on a mis en place des indicateurs pour suivre les progrès réalisés et nous avons vu que les choses ont évolué dans ce sens-là et sur le plan stratégique, nous avons accompagné le ministère de la Santé. Nous avons vu qu’il y a des documents normatifs et stratégiques d’aide à la prise de décisions qui ont été développés avec ce financement qui ont contribué à l’amélioration des soins. Et, nous avons vu aussi qu’il y a eu des formations qui ont été organisées à tous les niveaux, qui ont contribué à améliorer les prestations dans le domaine de la santé de la reproduction», a indiqué Sara Kitabwalla.
KAUD
