Cette pratique est très courante dans les rouages de l’administration du Trésor public, à Brazzaville. Dès qu’il s’agit d’un chèque ou d’un bon de trésor d’un montant de plus de 2 millions de francs CFA, il est difficile à son détenteur de le toucher sans laisser 10% ou plus de la somme à percevoir. Ceux qui refusent poirotent. Ceux qui consentent sont servis avec empressement. Même les cabinets ministériels sont obligés de céder. Ainsi va le pays…