Ces deux dernières années n’auront pas été joyeuses pour les 1800 étudiants congolais de Cuba. Et pour cause : ils cumulent 30 mois d’arriérés de bourse, affirment-ils, et se considèrent comme des laissés-pour-compte de la République. La situation est très préoccupante pour eux, car ils ne vivent que grâce à la bourse. Selon eux, leurs collègues de pays comme l’Angola, la Namibie, l’Afrique du Sud, etc., reçoivent régulièrement leur bourse, et depuis le début de la pandémie de COVID-19, leurs gouvernements leur affrètent des avions de produits alimentaires. Ce que le Gouvernement congolais n’arrive pas à faire, au grand dam de ces pauvres étudiants !