Depuis 2015, année de la fin de leurs travaux, les logements dits sociaux construits à Mpila, dans la capitale congolaise, sur les ruines du dépôt d’armes et de munitions détruit par les explosions du 4 mars 2012 à Mpila, sont inoccupés. En 2019, une séance de questions orales au Gouvernement avait permis à la population de comprendre la raison qui fait que ces immeubles restent jusqu’à présent inhabités plus de six ans après. Ils ne seraient pas pourvus de certaines commodités. Les Brazzavillois parlent de gâchis.