Brazzaville a abrité du 6 au 8 février 2025 un atelier de lancement du projet Global biodiversity framework early action support (GBF-EAS). Ce projet est financé par le Fonds pour l’environnement mondial (FEM) et mis en œuvre par le Gouvernement congolais à travers le ministère de l’Environnement en collaboration avec le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD). La cérémonie d’ouverture de la cérémonie a été réhaussée de la présence de la représentante résidente du PNUD au Congo, Mme Adama Dian Barry et Arlette Soudan-Nonault ministre de l’Environnement.
La biodiversité est essentielle pour le bon fonctionnement des écosystèmes et pour le bien-être humain, car elle contribue à des services vitaux tels que la pollinisation des cultures, la régulation du climat et la purification de l’eau. Cette biodiversité est cependant menacée par des activités humaines telles la déforestation, la pollution et le changement climatique. Ainsi, l’atelier a consisté entre autres à cibler les secteurs clés de la biodiversité impactés par différentes activités économiques et humaines qui menacent l’écosystème forestier.
Son objectif principal était de présenter le projet biodiversity framework early, un programme ambitieux visant à renforcer les efforts de conservation et à favoriser une gestion durable des ressources naturelles.
Le projet GBF-EAS se concentre sur l’importance d’agir rapidement pour préserver la biodiversité, en apportant des solutions innovantes et adaptées aux défis environnementaux actuels. Cet événement a rassemblé plusieurs représentants gouvernementaux, des experts en biodiversité, des ONG et des acteurs locaux qui ont eu l’opportunité d’échanger sur les enjeux liés à la biodiversité au Congo ainsi que des stratégies et des actions concrètes qui pourront être mises en œuvre.
Rode LENGA (Stagiaire)
