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GOUVERNEMENT : Les ministres attendus aux résultats

GOUVERNEMENT : Les ministres attendus aux résultats

Un jour après la passation de service avec son collègue sortant, Clément Mouamba, le Premier ministre Anatole Collinet Makosso a tenu son premier Conseil de cabinet le 19 mai dernier à Brazzaville. Il a été question au cours de cette prise de contact de donner des orientations à la nouvelle équipe gouvernementale qui est priée de se mettre résolument au travail.

L’heure a donc sonné pour tous les membres du Gouvernement de se mettre à l’œuvre pour matérialiser le projet de société du Président de la République Denis Sassou Nguesso ‘’Ensemble poursuivrons la marche’’. La cohésion et la solidarité devront être de mise, en vue d’obtenir les résultats sur les missions de chaque membre du Gouvernement.
Edith Delphine Emmanuelle Adouki, ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique s’est dite prête à assumer ses missions. «Je suis professeure d’université, donc je suis dans mon milieu naturel dans lequel j’évolue depuis 32 ans. Mon entrée au Gouvernement est tout à fait quelque chose de singulier. Je vais essayer d’apporter ma modeste contribution à la réalisation de l’édifice», a-t-elle fait savoir.
La ministre de la Promotion de la femme, Ines Bertille Ingani qui a été rappelée à ce département, a remercié le Président de la République pour la confiance renouvelée. «Nous nous attèlerons à être à la hauteur des attentes des populations», a-t-elle rassuré.
Honoré Sayi, ministre de l’Energie et de l’hydraulique dont la nomination a fait bouger les rangs de sa formation politique de l’opposition, l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (UAPDS), a promis ne ménager aucun effort pour satisfaire les attentes du peuple en eau et électricité. «Je n’ai pas dit que j’y apporterai des miracles, j’attendrai la feuille de route que le Gouvernement donnera et je m’exécuterai pour faire de telle sorte que cette situation, sans être totalement insurmontable, soit surmontable. Il ne faut pas croire que c’est impossible d’avoir du courant ou de l’eau, ce n’est peut-être pas forcément à moyen terme, mais peut-être à long terme. Nous y arriverons et parviendrons à faire que les Congolais soient satisfaits», a-t-il dit.

G.N.

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A propos de l'auteur

Editorial

CONSCIENCE D’UNE NATION

Il est surprenant que le Congolais, malgré les événements pesants qui lui sont tombés dessus dans cette décennie ou les décennies antérieures garde la bourse de ses préjugés intacte. Il repart bien volontiers sur les horreurs de la guerre tribale de 1959, pour en faire le marqueur de l’histoire qu’il conserve et entretient. « Quel est votre nom déjà ?»

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