Cela devient récurrent. Tous les deux ou trois jours, il manque de l’essence à Brazzaville. Dans les stations-service, il y a des files de voitures et des bidons, qui se baladent au-dessus de la mêlée confuse qui grouille autour des pompes. Que se passe-t-il ? Pourquoi cet approvisionnement en dents de scie des stations ? Il faut vite trouver des réponses.