L’usage abusif du klaxon caractérise certains chauffeurs de taxi. A Brazzaville, c’est même une façon d’interpeller les potentiels clients, surtout quand les temps sont «durs». Il suffit de longer le trottoir pour être perturbé par des coups de klaxon qui peuvent vous affoler. Ce qui est paradoxal, c’est que le taximan qui s’arrête à la demande du client, redémarre sans présenter la moindre excuse s’il juge la destination indiquée «inaccessible» ou «lointaine».