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DEFENSE : Compatir avec les malades et prendre la mesure de l’état de l’hôpital central des armées

DEFENSE : Compatir avec les malades et prendre  la mesure de l’état de l’hôpital central des armées

Dans le cadre des festivités relatives au 60e anniversaire de la création des Forces armées congolaises (FAC) et de la Gendarmerie nationale, le chef d’Etat-major général des FAC, le général de division Guy-Blanchard Okoi qui était à la tête d’une délégation constituée des membres du commandement de la Force publique, a effectué une visite guidée à l’hôpital central des armées Pierre Mobengo de Brazzaville, le samedi 19 juin 2021.

Le but de cette visite était de manifester la compassion envers les malades internés dans cet hôpital. Mais également, de prendre la mesure de son état à savoir, le personnel et les structures, autrement dit, se rendre compte de la gestion du personnel que des structures. Le constat qui se dégage est que, l’hôpital est en train de faire peau neuve et de se mettre à l’heure du temps.
Le chef d’Etat-major général et les autres membres du commandement ont visité les départements de pédiatrie, de la médecine générale, ainsi que les services des urgences et de chirurgie. Partout où il est passé, le général Okoi a écouté attentivement les explications données par les différents responsables et prodigué des conseils aux uns et aux autres, tout en réconfortant les malades.
Parlant du fonctionnement de l’hôpital, le médecin-chef, le colonel Jean-Bertin Iloye, représentant son directeur, le médecin-général Pascal Ibata a fait savoir que l’hôpital est en pleine réhabilitation. «Et dans cet élan, le triage, le service des urgences et la consultation ont déjà été réhabilités. Sous peu, il sera réhabilité les deux chirurgies A et B, la réanimation et le bloc opératoire. La visite du commandement est donc arrivée à point nommé pour booster cette réhabilitation», a-t-il relevé.
Dans cet hôpital, a-t-il ajouté, «si nous faisons les statistiques, nous avons pratiquement 60 à 70% des civils que nous soignons et cela cadre bien avec le lien armée-nation prôné par nos autorités. Il faut noter aussi que nous avons la gratuité qui n’existe nulle part, sauf à l’hôpital central des armées. Hormis cela, nous continuons toujours à faire la gratuité totale de la césarienne, c’est-à-dire depuis l’hospitalisation jusqu’à la sortie. Je crois que dans toute la République, il n’y a que l’hôpital central des armées qui continue à appliquer le décret de cette gratuité», a-t-il assuré.

Alain-Patrick MASSAMBA

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A propos de l'auteur

Editorial

CONSCIENCE D’UNE NATION

Il est surprenant que le Congolais, malgré les événements pesants qui lui sont tombés dessus dans cette décennie ou les décennies antérieures garde la bourse de ses préjugés intacte. Il repart bien volontiers sur les horreurs de la guerre tribale de 1959, pour en faire le marqueur de l’histoire qu’il conserve et entretient. « Quel est votre nom déjà ?»

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