S’il y a une activité qui prospère à brazzaville, c’est bien la vente de boissons. Dans toutes les artères goudronnées de la capitale, on voit des dépôts et autres débits de boisson pousser comme des champignons. Ils se suivent parfois à la queue leu leu le long de certaines rues. Cela n’est pas sans conséquence non seulement pour l’éducation de la société, mais aussi en termes de nuisances sonores. Au regard de l’ampleur du phénomène, des voix s’élèvent pour demander aux autorités habilitées de redoubler d’efforts dans le contrôle de leur implantation.