Beaucoup d’internautes apprécient les chroniques du promoteur de la chaîne YouTube Tsiéleka, le journaliste Brony Fortunat Ngolali. Il ne fait pas dans la langue de bois, et ses propos sont fracassants. Dernièrement, il est revenu sur les missions des ministres à l’étranger. «La plupart sont sans retombées», a-t-il dit. Dans une autre chronique, il indique que «les ministres doivent donner l’exemple de patriotisme et de sacrifice». «Désamorcer les grèves à répétition, c’est aussi revoir le mode de gestion des structures mises en cause», estime-t-il également. «Le développement du Congo ne pourra se concrétiser qu’à travers un véritable changement de mentalité, une rupture profonde avec les anciennes habitudes», pense-t-il. Beaucoup de difficultés expliquent l’état critique de notre pays. Mais le plus grand mal des maux, «c’est la mauvaise gestion», relève-t-il. Le contexte social est au mécontentement. C’est pourquoi les chroniques de Brony Fortunat Ngolali rencontrent un succès. La vie devient de plus en plus dure pour le Congolais moyen qui ne sait plus comment faire entendre sa voix. Alors, quand une occasion se présente, nombreux laissent libre cours à leur colère. De plus en plus de Congolais perdent leur contrôle et n’hésitent pas à exprimer leur point de vue. Cela devrait donner à réfléchir sur les politiques en matière social. Tsieleka s’attire aussi les foudres des «atalaku» du pouvoir.
Des chroniques qui rencontrent un grand succès
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