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Pointe-Noire : Journée nationale de l’arbre, l’acte 2 du «Projet vert» a été écrit

Pointe-Noire : Journée nationale de l’arbre, l’acte 2 du «Projet vert» a été écrit

Les autorités de Pointe-Noire ont procédé le 6 novembre au planting d’arbres, dans le cadre de la Journée nationale de l’arbre. Question de poursuivre l’exécution du «Projet vert» lancé l’année dernière, dans le but de répondre aux défis environnementaux de la capitale économique. Du préfet du département de Pointe-Noire, Alexandre Honoré Paka aux chefs de quartiers, en passant par le maire central Jean François Kando et les maires d’arrondissements, ce sont toutes les autorités de la ville océane qui étaient debout dans la matinée du vendredi pour le planting d’arbres dans le cadre de la 34e édition de cette Journée nationale de l’arbre.
Elles ont piqué 67 plants de cocotiers dans une cocoteraie aménagée au bord de l’océan par des éléments des Forces armées congolaises (FAC), sur une superficie de 0,7 hectare. Près de 1.000 lagerstromia (nom scientifique du lilas d’été) ont été également plantés dans la zone de la garnison militaire, à un jet de pierre de la Maison d’arrêt et le long du boulevard Moe Katt-Matou entre le centre-ville et le marché central.
Si l’initiative procède d’une exigence nationale, la municipalité de Pointe-Noire a placé cette 34e édition sous le thème: «Continuons de planter les arbres pour lutter contre les érosions et les glissements de terrain, malgré la covid-19». Un thème en phase avec le «Projet vert» de la ville océane.
«Notre principal objectif, c’est de faire de Pointe-Noire une ville verte, une cité où il y aura beaucoup d’arbres», a déclaré le maire central, Jean François Kando, qui a en outre indiqué que son institution «travaille en intelligence» avec des structures spécialisées dont le Service national de reboisement (SNR) qui leur fournit des plants.
Lancé l’année dernière, ce programme consiste essentiellement à planter des arbres dans toute la ville dans le but d’anticiper les catastrophes liées aux effets des changements climatiques, comme les érosions, à l’instar de celle qui hante depuis des années les habitants de Mongo-Kamba au Nord-est.
Au lancement du «Projet vert», des menthalys ont été plantés le long de l’avenue Jacques Opangault à niveau du pont sur la rivière Songolo, à l’ouest.

John NDINGA-NGOMA

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A propos de l'auteur

Editorial

CONSCIENCE D’UNE NATION

Il est surprenant que le Congolais, malgré les événements pesants qui lui sont tombés dessus dans cette décennie ou les décennies antérieures garde la bourse de ses préjugés intacte. Il repart bien volontiers sur les horreurs de la guerre tribale de 1959, pour en faire le marqueur de l’histoire qu’il conserve et entretient. « Quel est votre nom déjà ?»

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