Le siège de l’ANAC serait toujours sous le contrôle des travailleurs révoltés. Selon des confrères conviés à couvrir jeudi 20 mai 2021 un point de presse du directeur général de cette institution, les journalistes ont été repoussés par des agents en colère revendiquant le paiement de plusieurs mois d’arriérés de salaire. Mais la gendarmerie est venue disperser les manifestations, et c’était le sauve-qui-peut!