Un lecteur de La Semaine Africaine affirme avoir vu la semaine passée une drôle de pratique chez des militants. Pour grossir les rangs de leur parti, les activistes d’une organisation politique se sachant majoritaires dans un quartier de Brazzaville n’ont pas hésité, dit-il, à exercer sur certains citoyens une pression: «Nous ici, nous devons voter pour untel… !». Au lieu d’éduquer les gens, notamment la jeunesse, «ces agitateurs conditionnés», comme notre lecteur les nomme, utilisent leur ignorance contre leurs supposés adversaires.