Certains Brazzavillois transforment leurs cours de parcelle en étables ou porcheries. Pour les voisins du quartier, cela constitue un calvaire. Ils doivent non seulement supporter les odeurs nauséabondes des déjections animales, mais aussi composer avec les moustiques qui, par colonnes entières, envahissent leurs chambres. N’est-ce pas trop demander aux autres quand on cherche à améliorer son ordinaire?