Mardi 8 septembre dernier, l’indignation était à son comble après qu’un camion remorque ait percuté et écrasé un homme d’une cinquantaine d’années, allongeant ainsi la liste des victimes d’accidents de la circulation liés au non-respect des heures de circulation en vigueur sur la route Mazala-Nkombo Matari (appelée aussi avenue de l’Union africaine), à Brazzaville. On n’avait pas encore fini de pleurer ce drame qu’un autre homme venait aussi d’être mortellement fauché sur la même route par un autre camion, appartenant à la société SGEC. L’infortuné tentait de traverser la chaussée. C’était jeudi 10 septembre.