Au terme de la Conférence d’évaluation des activités majeures 2024, des Forces armées congolaises, notre rédaction a bien voulu recueillir, le ressenti du général de brigade François Ossélé, directeur des opérations de l’Etat-major général des Forces armées congolaises, sur le déroulement et les différentes décisions prises, au cours de ces assises.
+Pouvez-vous dire, mon général, ce qu’on peut retenir de ces assises qui viennent de s’achever ce jour ?
++Ce qu’on peut retenir de cette réunion c’est le fait que les objectifs que nous nous étions fixés ont été totalement atteints, grâce à un dialogue de commandement et à des échanges fructueux et féconds. Nous avons pu réaliser le premier objectif qui consistait à faire le bilan par domaines. Nous avons par domaines, explorer toutes les questions, particulièrement, nous avons pu examiner nos points perfectibles, là où nous présentions le plus de faiblesses, et nous avons pu formuler des mesures concrètes, pour y remédier. Ca c’est le premier résultat essentiel, auquel nous sommes parvenus.
+Que peut-on retenir du deuxième résultat ?
++Deuxièmement, dans la perspective des budgets en modes programmes, nous avons pu échanger et créer toutes les conditions pour que nous nous arrimions à cette exigence. Et de ce fait, nous avons réussi à faire un certain nombre de propositions, d’objectifs et d’actions prioritaires pour l’année 2025. Puis, nous avons mis en place, une feuille de route réaliste, pour nous permettre de prendre en compte toute la période tampon de décembre 2024 à février 2025, la période qui prend en compte la fin de l’année d’instruction, et le début de la future année d’instruction, de sorte que dans cette période, nous continuons à demeurer vigilants et performants.
+Que dites-vous pour conclure ?
++Nous disons qu’à travers ses deux objectifs principaux, nous pouvons dire comme l’a reconnu le Chef d’Etat-major général des Forces armées congolaises, dans son mot de clôture, que nous avons atteint tous les objectifs de notre conférence.
Propos recueillis par Alain-Patrick MASSAMBA
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