La ministre de l’Enseignement supérieur n’a pas mâché ses mots. Le 31 juillet dernier, lors d’une descente sur le campus de l’Université Denis Sassou Nguesso de Kintélé qui a été victime d’actes de vandalisme, en dépit de la présence d’une société de gardiennage grassement payée, Edith Delphine Emmanuel née Adouki a demandé que ce contrat soit résilié sans autre forme de procès. Panneaux solaires arrachés, lampadaires et plusieurs climatiseurs splits, meubles, literie volés; câblage électrique emporté, etc. Bref, c’est une partie du campus non encore en service qui a été vandalisée. Pour la ministre, la possibilité de poursuivre en justice la société de gardiennage n’est pas n’exclue. En attendant, c’est la Gendarmerie nationale qui sécurise désormais le site.