La célébration de la Journée internationale des droits de la femme, reconnue mondialement pour mettre en lumière les luttes et les revendications des femmes, s’est déroulée cette année sur fond de campagne électorale déguisée. En effet, après Djambala, dans les Plateaux, le 8 mars dernier, la célébration du même événement en différé à Sibiti, dans la Lékoumou, le 22 mars, a pris une tournure pour le moins surprenante. L’objet de la célébration a été tout simplement détourné avec cette «demande» inattendue de la candidature de Denis Sassou Nguesso à l’élection présidentielle de 2026.