Au cours d’une rencontre du CSLC (Conseil supérieur de la liberté de communication) avec les techniciens et installateurs des médias, des reporters de la chaîne privée de télévision DRTV (Digital-radio-télévision) ont été surpris, jeudi 4 novembre dernier, par la réaction du premier vice-président du gendarme de la Communication au Congo, Jean-Pierre Goma. Furieux, celui-ci leur a demandé de déguerpir de la salle avant le début de la réunion, en guise de représailles parce que mécontent de ne pas voir son image sur l’antenne de DRTV chaque fois que celle-ci diffuse les activités du CSLC. Geste incontrôlé ? Cela s’est passé devant tous les membres du CSLC qui sont restés coi. Le destin de la liberté de la presse au Congo est malmené par ceux-là même chargés de la protéger!