Sélectionner une page

MTN et Universal Music Africa aux côtés de la jeunesse congolaise

MTN et Universal Music Africa aux côtés de la jeunesse congolaise

La jeunesse africaine en général et congolaise en particulier a du talent et a besoin de se faire accompagner pour impacter le continent. Des entreprises citoyennes emploient de grands moyens pour jouer leur partition. Il y a quelques années, Universal Music Africa (UMA) ouvrait des bureaux au Nigeria et en Côte d’Ivoire. L’ambition de la Major est claire: couvrir l’essentiel des pays d’Afrique anglophone et francophone en détectant et produisant de jeunes virtuoses de la musique. Au Congo, ses différentes collaborations avec le groupe sud-africain MTN vont dans la droite ligne de servir la jeunesse africaine.

La filiale congolaise de l’opérateur de téléphonie mobile organise tous les ans une belle compétition de musique appelée Y’ello Zik Star. Le vainqueur de ce concours bénéficie d’un important soutien de production et de communication entièrement financé par MTN Congo. Barka Binguila, gagnant de l’édition 2022, grâce à un accord de partenariat avec Universal Music Africa, verra certainement sa carrière propulsée au-devant de la scène musicale continentale.

Révéler et accompagner les talents musicaux est un credo pour MTN Congo. En effet, l’entreprise est aujourd’hui l’une des rares à soutenir continuellement les artistes locaux et étrangers qui se produisent dans le pays. De nombreux concerts et spectacles musicaux sont sponsorisés par la compagnie qui appuie constamment les initiatives culturelles du gouvernement congolais en faveur de la jeunesse. On peut citer entre autres les concerts de Vegedream ou encore Toofan.

En outre, Universal Music Africa n’est pas moins active au pays des diables rouges. Les responsables de la Major y ont plusieurs fois donné des conférences-ateliers sur l’industrie musicale, afin d’apporter leur contribution dans la professionnalisation des acteurs de cette industrie.

On se souvient des interventions remarquables de Franck Kacou, directeur général, et Mamby Diomande, directeur Live & Brand d’Universal Music Africa, lors de la troisième édition des formations dédiées aux métiers de la musique urbaine à destination de 33 rappeurs, danseurs, DJ, beatmakers, slammers et managers, organisée par l’Institut français de Brazzaville. Ces derniers, au cours de cet atelier, ont ouvert la porte d’UMA à tous les jeunes musiciens pétris de talent et prêts à entamer une carrière musicale. « Nous vivons sur un continent où le talent artistique et musical foisonne à souhait. Le Congo a un potentiel énorme d’artistes talentueux. A tous les coins de rue, vous pouvez voir des jeunes congolais pousser la chansonnette avec dextérité. Notre rôle, c’est de les détecter et de les accompagner à bâtir une carrière à la hauteur de leur savoir-faire», a déclaré Franck Kacou.

Depuis son existence sur le continent africain, la maison de production porte l’ambition de révéler de nouveaux talents et de leur permettre d’embrasser une carrière internationale. C’est d’ailleurs dans cette veine que la major a lancé l’Universal Music Africa – Academy, un centre de formation aux métiers de l’industrie de la musique pour les futurs jeunes talents de la musique. « Nous croyons en la capacité des artistes congolais en particulier et africains en général à influencer la musique internationale. On le voit bien en France, parmi les artistes les plus écoutés, beaucoup sont issus de la diaspora africaine et ont des sonorités afro dans leurs morceaux. Toutefois, les jeunes ont besoin d’être motivés et bien formés pour aller à la conquête du monde et c’est l’objectif de l’Universal Music Africa – Academy», a poursuivi le directeur général de la Major.

L’engagement de ces entreprises est un appui non négligeable pour l’accompagnement des actions gouvernementales en faveur des jeunes dans de nombreux pays.

Inscrivez-vous pour recevoir une nouvelle mise à jour d'article

Nous ne spammons pas !

Vérifiez votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.

A propos de l'auteur

Editorial

Au pays de la démocratie monocolore

Nous sommes entrés dans la 4è mandature de notre Sénat. La semaine dernière, elle a installé ses plénipotentiaires, choisi son président. S’il s’était agi de langue, on aurait dit que le Sénat parlera désormais une langue unique. La nouvelle Chambre, en effet, est composée à la très écrasante majorité de partisans ou militants du PCT. Honneur au vainqueur. Aux sénatoriales du 20 août dernier, seuls 3 des 72 sénateurs sont venus de l’opposition comme nous l’écrivions déjà. Autant dire qu’elle ne pourra pas même chahuter une loi, espérer la mettre en échec !

Lire la suite

septembre 2023
L M M J V S D
 123
45678910
11121314151617
18192021222324
252627282930