C’est au cours d’un meeting organisé à la Place Mabouaka, à proximité de la Paroisse Saint-Pierre Claver de Bacongo, que Jean Lounana Kouta, directeur local de campagne du candidat Denis Sassou-Nguesso à l’élection présidentielle 2021 dans la circonscription électorale de Bacongo 1, a fait les premières évaluations de son action débutée le 5 mars 2021.Il a bénéficié de l’assistance de Donald Fylla, directeur local de campagne du même candidat dans la circonscription électorale de Bacongo 2.

Le déroulé de cette rencontre présenté par Médard Milandou prévoyait les messages des sages, des mamans de Bacongo 1, des jeunes, des partis politiques: Mouvement Action et Renouveau (MAR), Rassemblement Citoyen (RC), Mouvement Congolais pour la Démocratie et le développement intégral (MCDDI) et du Parti Congolais du Travail (PCT). L’Union pour la République (UR) était aussi de la partie.
Après le mot de bienvenue prononcé par Albert Nokani, chef du quartier 24, le serment de différents intervenants s’est focalisé entre autres sur la mobilisation, l’engagement à voter utile pour le candidat Denis Sassou-Nguesso afin qu’il soit élu dès le premier tour. Parce qu’il a l’expérience et la vision de conduire ce pays à l’émergence. A cette occasion, les jeunes ont déclaré être des ambassadeurs de Denis Sassou-Nguesso pour relayer le message de paix et d’unité nationale dans leurs quartiers.
Prenant la parole, Jean Lounana Kouta a enfoncé le clou: «Nous avons suivi le mot de bienvenue des sages, les messages des mamans, des jeunes et de différents partis de la majorité présidentielle, devant nous, une foule en liesse et vêtue de blanc: c’est un symbole fort que nous voyons et entendons. Dans tous les messages, c’est le mot paix qui revient; une paix si chère à notre leader. Que les habitants de Bacongo 1 s’approprient de manière particulière ce concept qui nous a manqué à un moment donné. Nous sommes tous heureux aujourd’hui de vaquer librement à nos occupations et nous souhaitons que cette paix dure à jamais, que cet élan de modernisation puisse continuer. Il a, en 1999, remis notre pays aux mains de Dieu ; ce n’est pas rien ! car là où le nom de Dieu est invoqué, la paix y règne».

V. G