Après plusieurs années consacrées à la science et à l’excellence académique, Roch Bredin Bissala Nkounkou signe son retour politique et un engagement réaffirmé pour le Congo. Biologiste des hôpitaux, virologue, conseiller technique du Premier ministre, ce fils du pays ne revient pas les mains vides: il apporte avec lui un bagage scientifique, une stature d’homme d’État et une vision politique nourrie de convictions profondes.
Un retour chargé de sens
Sa première apparition publique, après cette période d’introspection et de formation, a eu lieu sur un lieu chargé de mémoire et d’histoire: la tombe de son arrière-grand-père, Monseigneur Nkounkou. En s’y inclinant, Roch Bredin Bissala Nkounkou pose un geste hautement symbolique. Il honore ses racines spirituelles, culturelles et familiales, tout en lançant un message clair: son engagement s’inscrit dans la continuité d’une lignée d’hommes d’influence et de sagesse.
L’homme derrière le scientifique
Dans l’émission Le Portrait sur Télé Congo, Roch Bredin Bissala Nkounkou dévoile les multiples facettes de sa personnalité: un scientifique formé à l’exigence, un croyant habité par les valeurs de foi et d’humilité, mais aussi un patriote convaincu que le développement de la nation passe par la compétence, la rigueur et le courage politique. Il y raconte son parcours atypique, ses publications scientifiques, son rôle dans la lutte contre les maladies infectieuses, tout en insistant sur le besoin d’une nouvelle génération de leaders éclairés.
Une vision politique nourrie par l’expertise
Son engagement politique n’est pas motivé par la recherche de pouvoir, mais par le devoir de contribuer. Pour Roch Bredin Bissala Nkounkou, le Congo doit renouer avec une gouvernance fondée sur la vérité, le travail bien fait et l’intérêt collectif. Sa vision repose sur une approche scientifique des problèmes nationaux: une politique de santé publique repensée, une réforme de l’éducation axée sur l’innovation, et une administration débarrassée du clientélisme.
Roch Bredin Bissala Nkounkou ne revient pas seulement en politique. Il revient habité par une mission, porté par une exigence et guidé par une foi profonde en l’avenir du Congo.
KAUD