L’époque où l’on payait les trajets aux tarifs normaux est restée un souvenir. Jour après jour, les Brazzavillois assistent à une augmentation vertigineuse du prix du transport en commun privé: 200, 250 ou 300 francs CFA. Les usagers ne peuvent se plaindre de ces prix abusifs, sinon le chauffeur ou le contrôleur répondra: «Vous n’êtes pas obligés de monter à bord, et personne ne vous force».