Ancien ministre, l’universitaire Grégoire Léfouoba a, courageusement, pris ses distances par rapport à l’amendement de l’article 157 qui a été voté à l’unanimité par le Parlement réuni en congrès, vendredi 7 janvier dernier, mais qui continue à faire couler beaucoup d’encre. Réagissant au micro de Vox TV, il a déclaré: «La pandémie est une situation passagère. Demain, si on a la variole ou la tuberculose à grande échelle (ce sont des maladies contagieuses), donc vous allez encore modifier la Constitution ? Cela n’est ni opportun, ni pertinent. Je ne vois pas l’utilité de modifier la Constitution au moment où nous parlons.»