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Témoignage de monsieur Jean François Séraphin Ganga : «Grâce à une révélation du Bon Cardinal Emile Biayenda, mon mal a trouvé une solution»

Témoignage de monsieur Jean François Séraphin Ganga : «Grâce à une révélation du Bon Cardinal Emile Biayenda, mon mal a trouvé une solution»

Le témoignage que voici date de 2004. M. Jean François Séraphin Ganga est parmi les nombreuses personnes qui nous ont fait parvenir leur témoignage. Grâce à une révélation du Bon Cardinal Emile Biayenda, dit-il, «mon mal a trouvé une solution appropriée».

J’avais fait un accident de circulation dans ma voiture Toyota Corola immatriculée 248 ET 4, sur la route de Mbouono, plus exactement sur la montagne dite de Tié-Tié, le 5 juillet 2004. Ma tête avait heurté le pare-brise avant de la voiture qui s’était cassée. J’avais perdu mes sens. Je fus transporté par des passants au Centre intégré de Madibou, où j’avais reçu les soins de première nécessité, avant d’aller faire une radio du front au CHU, demandée par le Dr Samba Léa, qui, en fin de compte, était normale.
Cependant, au fil du temps, je ressentais toujours un mal au front et il arrivait des moments où la partie qui me faisait mal s’enflait.
Le 21 novembre 2005, en séjour à Paris (France), j’ai profité de me faire consulter. Je me suis fait consulter par le Docteur Philippe Denoyelle qui m’avait demandé de faire un scanner. Là aussi, rien n’avait été détecté (Cf documents fournis).
Rentré au Congo, le 29 octobre 2008, j’ai rêvé le Cardinal Emile Biayenda, dans sa soutane kaki. Il m’a demandé de prendre le produit que j’appliquais contre le mal des cors en France, qui se trouvait dans mon garde-linges, et de le frotter sur la place qui me faisait mal. Six jours après le début de l’application, pendant que la partie du corps s’enlevait, j’ai vu un morceau de tesson de pare-brise sur le front.
Je me suis rendu à l’hôpital de Tié-Tié de Pointe-Noire, le 5 novembre 2008, où j’étais en séjour. Cette fois-ci, la présence d’un corps étranger a été confirmée et vue. J’ai parlé du témoignage du Cardinal Emile Biayenda au médecin-chef de service de chirurgie qui m’avait reçu. Après un moment de réflexion, il avait décidé de ne pas l’enlever, étant donné que la médecine n’avait pas décelé ce tesson.
Plutôt, il fallait continuer avec ce produit objet du rêve, jusqu’à ce que le tesson parte seul. Et c’est ce qui fut fait.»

(Tiré du bulletin La Mémoire de septembre 2016)

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A propos de l'auteur

Editorial

CONSCIENCE D’UNE NATION

Il est surprenant que le Congolais, malgré les événements pesants qui lui sont tombés dessus dans cette décennie ou les décennies antérieures garde la bourse de ses préjugés intacte. Il repart bien volontiers sur les horreurs de la guerre tribale de 1959, pour en faire le marqueur de l’histoire qu’il conserve et entretient. « Quel est votre nom déjà ?»

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