Noyé dans son vieux fauteuil et scrutant le petit écran, le vieil Albert a vu défiler le week-end dernier les images des associations qui ne se montrent très actives que quand approchent les échéances électorales. Sa réaction ? «Les jeunes se précipitent trop vite en politique. Beaucoup y trouvent leur seule préoccupation. Pourtant, il serait préférable de se soucier de leur avenir. Les travaux champêtres comme l’agriculture, la pisciculture, l’élevage ne devraient-ils pas retenir l’attention de ceux pour qui ils s’engagent ?»