Dans le cadre des préparatifs de la COP26 qui se tiendra à Glasgow en Ecosse, la ministre Arlette Soudan-Nonault a tenu une séance de travail avec les représentants des institutions onusiennes au Congo.

A cette rencontre, le PNUD et l’UNESCO se sont engagés à appuyer le Congo. L’opérationnalisation de la commission climat pour le bassin du Congo (CCBC) et du Fonds bleu pour le bassin du Congo, lequel porte les différents projets africains émanant des CDN des seize pays membres, qui sera mise en lumière à la COP26 de Glasgow, s’inscrit parmi les défis de ce rendez-vous planétaire, phase décisive de l’Accord de Paris sur le climat. Comme le Royaume Uni qui va abriter Glasgow 2026, ces institutions onusiennes ont accepté d’accompagner la République du Congo dans le cadre des préparatifs de la COP26 de Glasgow ; dans la consolidation du Fonds bleu pour le bassin du Congo ; et dans le cadre de la table ronde qui va être portée par les Etats-Unis qui sont de retour dans les Accords de Paris.
«Le PNUD accompagne ce processus depuis presque deux ans. Nous sommes un point culminant, il faut aller à la COP26 de Glasgow pour montrer au monde que ça c’est l’offre du Congo. Le Président de la République du Congo a dit lors de son investiture que l’Afrique s’appellera dorénavant l’Afrique verte. Le dossier du Fonds bleu est une manifestation de ce message-là. Donc nous sommes satisfaits avec ma collègue de l’UNESCO pour accompagner cet effort qui est une innovation mondiale dans le domaine du climat entendu que le climat n’a pas de frontière», a déclaré Maley Diop, le représentant du PNUD.

KAUD