On ne parle plus de la réhabilitation du barrage hydroélectrique du Djoué situé à la porte sud de Brazzaville. Mis en service en 1953, il est abandonné à cause de sa vétusté. En 2005, le ministre de l’Energie et de l’hydraulique d’alors, Bruno Jean-Richard Itoua, et le président directeur général d’un groupe sud-africain avaient signé un protocole d’accord ayant pour objet le financement et la réalisation des études de faisabilité de deux barrages, Liouesso et Djoué. Les travaux de Liouesso, dans la Sangha, lancés en 2012, sont déjà terminés et le barrage inauguré. Mais ceux du Djoué, dans la capitale, sont sans cesse renvoyés aux calendes grecques. C’est comme si le Gouvernement avait mis une croix sur ce projet. Il était prévu le doublement de sa capacité (de 15 à 31 MW) pour un coût de 26 milliards de francs CFA. Oubli volontaire?

1 COMMENTAIRE

Les commentaires sont fermés.