Malgré leur interdiction, les taxis-motos circulent toujours à Brazzaville. Tout cela se passe au vu et au su des agents de la circulation routière qui ne s’intéressent qu’à la surcharge des gros camions de sable, de caillasse, du fer à béton ou de foufou. Les conducteurs de taxi-moto ne respectent pas toujours la réglementation en vigueur et sont à l’origine de beaucoup d’accidents. La semaine passée, une vendeuse ambulante et ses deux enfants ont été fauchés par un conducteur de taxi-moto. Ce dernier a pris la fuite, par crainte, sans nul doute de la justice populaire. Personne n’a pu l’identifier.