On dit que les responsables du PCT (Parti congolais du travail) sont à couteaux tirés dans l’un des arrondissements de Brazzaville, précisément Bacongo. Le climat y serait tendu de ce côté-là. Certains caciques tiennent, semble-t-il, à présenter leurs parents ou proches à la députation. Ils y tiendraient coûte que coûte, d’où l’attente, dit-on, d’une supposée liste additive, le parti n’ayant pas réussi à trancher certains cas. Les négociations avec les partis alliés tardent aussi à se concrétiser par des accords.