Dans un article écrit sur sa page Facebook, un confrère relate que les 300 milliards de francs CFA mobilisés par le Club de Brazzaville pour commencer à payer la dette de l’Etat vis-à-vis de ses créanciers, notamment les entreprises locales, feraient l’objet de convoitise. «La magouille a commencé dès le listing des bénéficiaires», assure-t-il. Heureusement, la BGFI, l’une des cinq banques qui ont mis la main à la poche, aurait «tapé du poing sur la table». Un baron du pouvoir «a aussitôt été défenestré». Il n’aurait «eu aucun soutien (…) pour se maintenir», prétend notre confrère.