Le choix du Gouvernement congolais de confier la distribution et la commercialisation de l’électricité à la Société nationale d’électricité du Sénégal (SENELEC) est boudé par les travailleurs de la société Energie électrique du Congo (E2C) et par l’homme de la rue. Des tensions sont signalées entre l’Etat et les travailleurs d’E2C. Ces derniers jugent cette option comme étant «suicidaire». Les travailleurs expriment leurs préoccupations, craignant que la nouvelle entité ne respecte pas les engagements sociaux pris par l’Etat. D’autres s’interrogent quant à la transparence et à l’intégrité des réformes en cours dans le segment électricité.