Répondant aux questions de la presse à l’occasion de l’inauguration du Complexe scolaire Liberté, vendredi 24 octobre 2025 à Brazzaville, le président de la République, Denis Sassou-Nguesso, a cherché son exemple en France pour appuyer son argumentation sur la légalité de l’intervention de la DGSP et de la GR dans l’opération de traque des bébés-noirs ou kuluna. Il a évoqué le plan Vigipirate qui a été, dans l’Hexagone, une réponse graduée et encadrée face à une menace terroriste, respectant un équilibre des pouvoirs. «Pas un mot dur à l’endroit des auteurs de bavures», regrette un activiste des droits de l’homme, faisant allusion à la démolition des maisons de parents qui ne dénoncent pas leurs fils présumés bébé-noirs. «Au nom de quoi, les éléments de la DGSP auraient-ils plus de droit à la possession de biens que les parents jugés complices ?»

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