Dans le cadre du programme «Read Africa» pour la promotion de la pratique de la lecture auprès des jeunes, la fondation UBA, représentée par Loriane Dzon, directrice marketing et communication de la banque UBA, a fait un don de livres aux jeunes filles en classe de 3e. Elle entend encourager à poursuivre leurs études le plus longtemps possible. Elle a remis du matériel scolaire à la direction du CEG Mfilou. Ce don a été réceptionné par Mme Jeanne Ida Oumba, directrice, cheffe d’établissement, qui à son tour l’a remis aux récipiendaires. C’était lundi 23 novembre 2020
Le don de la fondation UBA était composé de romans écrits par des auteurs africains, 125 cartons de craie blanche, 125 cartons de craie couleur et 50 rames de papier.
Loriane Dzon a souligné que la fondation UBA œuvre dans le domaine de l’éducation dans les 20 pays où la banque UBA est implantée. «Nous avons répondu aux préoccupations du CEG Mfilou, parce que nous avons pensé qu’il était bon d’encourager les jeunes élèves, surtout les filles, à s’investir dans leurs études et aller le plus loin possible. Ces romans écrits par des auteurs africains sont remis aux jeunes filles de 3e qui préparent leur brevet. Nous avons aussi pensé venir en aide à la direction en remettant des lots de papiers rames, de la craie, qui sont indispensables pour le fonctionnement de l’école», a-t-elle dit.
La directrice marketing et communication a déclaré que les statistiques montrent que plus une fille avance dans les classes, moins elle s’implique. Pour des raisons complexes, elle finit par abandonner les études, a-t-elle relevé.
Mme Jeanne Ida Oumba, à son tour, a remercié la fondation UBA pour la dotation.
Ulrich Boutoto Mbounkou, récipiendaire, au nom de tous les élèves, a remercié le donateur pour le geste tout en le rassurant du bon usage qui sera fait de ces manuels.
Hilaire Bahoungou, président des parents d’élèves a indiqué: «C’est un geste que j’apprécie avec amour. Les romans pourront aider nos élèves à relever leur niveau d’apprentissage et le niveau d’orthographe».

Aybienevie N’KOUKA-KOUDISSA