L’occupation des places à l’église défraie la chronique. Tout se passerait comme au marché ou dans un stade de football. Un lecteur nous signale que, dimanche 3 avril 2022, dans sa paroisse, un homme a revendiqué sa place, à l’angle du premier banc. Il a dit l’occuper depuis l’époque des premiers missionnaires canadiens. Une belle fidélité et stabilité. C’est bien tout cela, seulement voilà : pour éviter que quelqu’un d’autre ne vienne y s’assoir, notre informateur lui a conseillé qu’il y soit toujours à l’heure. Comme quoi, qui est en retard, perd «sa » place.