Pour tout dire, sur l’ensemble de ses trois premières éditions du journal de 20 heures sur Télé Congo, je puis affirmer que Bernida Sitou a été parfaite sur tous les plans. Expression française excellente, élocution parfaite, présence vocale remarquée, adresse raffinée dans les lancements, finesse perceptible dans les transitions, pertinence des relances, maîtrise parfaite du sujet, bonne attitude face à la caméra, gestuelle exquise, look télégénique appréciable, maquillage infiniment mesuré, bref très à l’aise dans la présentation, autant de points forts qui confortent mon admiration pour cette jeune journaliste qui, depuis trois jours successifs, est couverte d’éloges et retient l’attention de plus d’un, édition après édition.

Pour ses premières apparitions sur la Télévision nationale, je puis dire sans ambages que Bernida Sitou a réalisé un sans-faute qui fera parler d’elle. Ce n’est d’ailleurs pas fortuit que je la considère comme la coqueluche du 20 heures sur Télé Congo. Plus qu’une trouvaille, Bernida Sitou c’est une valeur ajoutée, mieux une plus value qui à coup sûr devrait contribuer à faire décoller ce programme télé.
Pourtant, cette performance de haute classe ne me surprend guère puisque Bernida Sitou aura été étincellante lors de son passage à DRTV, la première chaîne de télévision privée à Brazzaville. Pour avoir suivi ses débuts au 20 h 30 de DRTV, je puis témoigner qu’elle était tout aussi percutante qu’elle l’est aujourd’hui. Loin s’en faut, les prouesses de Bernida Sitou que je sublime ce dimanche 25 août ne sortent nullement du néant. Elles résultent plutôt de la bonne formation et de l’encadrement conséquent qu’elle a dû recevoir de ses aînés et anciens, notamment les grosses pointures de DRTV. Je veux parler de Justin Bambaka, son rédacteur en chef et directeur de l’information, Lionel Mitsingou, Maixent Foukou-Makaya, ces trois as du JT sur DRTV.
Je n’oublie pas Giscard Mahoungou son secrétaire général de rédaction, celui-là qui à mes yeux est le journaliste-reporter qui me fascine le plus au Congo, par la force de ses mots, la pertinence de ses papiers de reportage, il est le meilleur de tous, ce Giscard tellement il m’entraîne, tellement il m’évade. Ainsi, d’un point de vue écriture télévisuelle, je présume qu’elle a énormément bénéficié de l’encadrement de Giscard, ce virtuose de la plume pour lequel j’ai beaucoup de respect et de considération. Car tenez-vous bien, non seulement Bernida Sitou présente excellement bien les journaux, mais aussi elle rédige de très bons papiers de reportage ce grâce à l’encadrement de ses anciens.
En gros, en réalisant toutes ces prouesses sur Télé Congo, Bernida Sitou en réalité ne fait que réediter l’exploit accompli durant son passage à DRTV. Comme quoi, quand on a été bien formé et bien encadré, on maîtrise parfaitement son sujet, on est efficace sur le terrain et les résultats sont probants et conséquents.
Pour terminer mon propos, une mention spéciale à André Ondelé et Hordel Biakoro Malonga, respectivement Directeur général et Directeur de l’Information de Télé Congo, pour avoir sélectionné Bernida Sitou parmi les présentateurs du journal de 20 heures sur la Télévision nationale.

Simplice MATOUREL